mardi 27 janvier 2015

Thierry Bardy accueille Régis Schultz dans son talkshow "regards croisés"




Comment Darty ré-enchante l’expérience de ses clients; le contrat de confiance 3.0


Thierry Bardy accueillera Régis Schultz, directeur général de Darty.

Dès son arrivée en 2013 à la tête de Darty, Régis Schultz fait de la « relation client » un cheval de bataille pour recouvrer la croissance perdue.
Digitalisation totale des points de vente, création du concept de conciergerie, d’ateliers de réparation en magasin, développement d’enquêtes de satisfaction client en ligne... 
Il fait de l’internet des objets une priorité de son développement ;  crée des corners en magasins dans le domaine de la maison et de la sante connectée. Il innove en créant le
« bouton Darty » et « click & collect ».
La transformation numérique de l’entreprise est totale, Régis Schultz viendra nous expliquer comment il a pu mettre en place une culture digitale et engager des changements d’organisation …


mercredi 14 janvier 2015

Thierry Bardy - Hemisphere droit institut "Leading innovation in digital world": Thierry Bardy " rompre avec l'injonction paradoxal...

Thierry Bardy - Hemisphere droit institut "Leading innovation in digital world": Thierry Bardy " rompre avec l'injonction paradoxal...: Il ne fait plus de doute que le digital constitue un formidable réservoir de croissance pour les entreprises, de nombreuses études l...

Thierry Bardy " rompre avec l'injonction paradoxale pour innover et manager



Hemisphere droit institut , Business models
Il ne fait plus de doute que le digital constitue un formidable réservoir de croissance pour les entreprises, de nombreuses études le montrent. Selon le cabinet Roland Berger , les entreprises françaises pourraient ainsi doubler leur taux de croissance en accélérant leur transformation digitale. De même, une analyse du cabinet de conseil en stratégie Oliver Wyman , publiée en décembre 2014, démontre que les modèles digitaux sont à très fortes économies d’échelle et que, dans l’industrie, la numérisation des processus se traduirait par des gains de productivité de 30 %.


Mais ces impacts économiques majeurs ne peuvent se concrétiser sans la prise en compte d’une dimension, tout aussi importante, voire davantage, que la dimension économique : la dimension culturelle.
Le digital provoque en effet trois grandes ruptures dans les entreprises et les organisations. D’abord, un écrasement des hiérarchies et des silos, caractéristiques historiques du fonctionnement de la plupart des entreprises. Ensuite, un rapprochement entre la technologie, le marketing et le business. Enfin, une transformation des compétences qui concerne tous les individus, pas seulement les managers, les plus « technologues » ou les plus diplômés. Cette transformation est portée par un nouveau modèle de management de type « T-Shape » qui encourage le partage des connaissances à tous les niveaux de l’organisation (barre du T) et qui, dans le même temps, valorise les expertises individuelles (barre verticale du T).

Ces ruptures apparaissent comme autant de prérequis pour réussir la transformation digitale, dans un contexte marqué par un raccourcissement des cycles de vie de produits, des exigences d’agilité et de retour sur investissement à court terme.
Comment caractériser la culture digitale ? Plusieurs éléments sont révélateurs de l’existence d’une posture digitale dans les entreprises : l’autonomie des individus, leur ouverture d’esprit, la flexibilité et l’esprit entrepreneurial, la capacité à prendre des risques et chercher à maîtriser les résultats, une communication plus simple, plus directe et plus transverse.
Comment dès lors insuffler une réelle culture digitale dans les organisations ?

2 pistes 

La première
 : encourager la transversalité et faire en sorte que les équipes soient capables de travailler en modes bottom-up ou « Test & Learn », avec l’agilité nécessaire pour s’adapter au raccourcissement des phases de conception des produits et à la rapidité de leur mise sur le marché. Cela nécessite, au plus haut niveau, une (r)évolution de la culture technologique des comités de direction, dont la composition doit, elle aussi, changer : le renforcement du leadership des directeurs marketing et des directeurs de systèmes d’information, grands absents des comités de direction, est incontournable, d’autant qu’ils sont porteurs d’innovation.

Seconde piste : sanctuariser dans les discours et dans les actes managériaux, même les plus anodins, le fait que le client est partout, que la technologie est partout et que le marketing doit être partout. Cette posture doit être naturelle, même si beaucoup de managers et de dirigeants ont perdu de vue l’essence de leur mission : satisfaire des clients.

Favoriser les capacités entrepreneuriales et la prise de risque, de manière à créer de la valeur. Les entreprises qui réussissent le mieux sont aussi celles qui font des paris sur l’avenir, qui encouragent la culture de l’innovation et favorisent la mixité des métiers avec confiance. Attention, toutefois, à ne pas tomber dans un travers, hélas, encore trop répandu : considérer que la culture digitale se résume à un empilement de compétences (par exemple des Data Scientists) ou à la multiplication d’initiatives ponctuelles…
Et enfin, mettre en phase "ses paroles et ses actes" ; rompre avec ce que j'appelle l'injonction paradoxale, à savoir, dire que l'on est agile , lean start up , faire l'apologie des méthodes et processus de Google ou des cours des meilleures MBA internationaux et d'agir concrètement totalement inversement.  Cette injonction paradoxale est profonde, elle nuit à toute transformation. Car les salariés sont désabusés par autant d’incohérence.Au delà de l'entreprise, la politique est un bon exemple d'injonction paradoxale.

mercredi 7 janvier 2015

Les 10 prédictions pour le futur des directeurs marketing aux USA


D'ici 2018, une organisation marketing sur 3 délivrera des contenus pertinents à chaque étape du parcours de l'acheteur, selon IDC.

Le futur des CMO (Chief Marketing Officer) a fait l'objet de prédictions de la part de l'institut IDC aux USA, qui dégage 10 tendances :

1 - 25% des CMO du secteur high-tech devraient être remplacés chaque année jusqu'en 2018
2 - D'ici 2017, 25% des organisations marketing devront déployer des centres d'excellence pour faire face à l'inégalité des connaissances
3 - D'ici 2017, 15% des entreprises btob devraient utiliser plus de 20 sources de data pour personnaliser le parcours consommateur
4 - D'ici 2018, une organisation marketing sur 3 délivrera des contenus pertinents à chaque étape du parcours de l'acheteur
5 - En 2015, une société sur 5 seulement se rééquipera pour toucher ses acheteurs captifs
6 - D'ici 2016, 50% des services marketing high-tech les plus importants créeront leur agence intégrée
7 - D'ici 2018, 20% des forces de ventes btob seront dématérialisées, entrainant de meilleurs taux de conversion
8 - D'ici 2017, 70% des applications mobiles pour les clients btob auront échoué dans leur mission ROIste à cause de leur manque de valeur ajoutée

9 - D'ici 2018, 25% des CMO et CIO partageront leur feuille de route pour la technologie marketing

10 - D'ici 2018, 20% des CMO btob piloteront leurs budgets en fonction des résultats des campagnes à la performance


Plus franco français








Le futur du Big Data vu par les décideurs marketing français


futur du Big Data  


81% des sondés sont convaincus de la grande importance de la Big Data et 52% la qualifient même de futur incontournable de la communication et du marketing.
Les décideurs marketing français sont convaincus de l'intérêt de la Big Data et perçoivent clairement comment elle impacte la performance, mais peu d'entre eux ont mis en oeuvre leurs projets. C'est ce qui ressort de la nouvelle étude FullSIX, en partenariat avec Limelight Consulting, qui a interrogé près de 100 décideurs français marketing et communication sur ce thème en septembre dernier.
81% des sondés sont convaincus de la grande importance de la Big Data et 52% la qualifient même de futur incontournable de la communication et du marketing. 82% y voient un potentiel de croissance et d'efficacité important, dont 20% à court terme et 43% à moyen terme.
Selon les personnes interrogées, la Big Data s'applique aux problématiques du CRM (97%), du web (97%), du mobile (91%), de l'achat d'espace (84%) et de l'expérience en magasin (77%).




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Problématiques liées au data © Fullsixdata
Les bénéfices perçus de la Big Data sont par ordre d'importance : la connaissance client, le ciblage, la personnalisation et la mesure de la performance.
Cependant, les résultats de l'étude révèlent un avancement modéré voire faible de la mise en œuvre : seuls 18% des annonceurs ont concrètement lancé des projets, dont 6% utilisent la Big data au quotidien.




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Entreprises et big data © Fullsixdata
Les raisons invoquées pour ce manque de concrétisation sont de quatre ordres : l'organisation en silo (75%), le manque de savoir-faire interne (74%), le besoin de case studies lisibles (72%) et le manque d'accompagnement externe (56%).




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Manques des projets big data © Fullsixdata
"Sur ce sujet plus que sur tous les autres, les agences doivent apporter aux annonceurs autre chose que des concepts et des mots. C'est un soutien global dont les annonceurs ont besoin, depuis des case studies clairs jusqu'à une assistance à l'implémentation agile et progressive. Le premier champ d'application de la Big Data est le marketing, et c'est la responsabilité des agences de faciliter le passage du dire au faire", commente Marco Tinelli, Président du groupe FullSIX.

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Objets connectés, personnalisation de l’expérience mobile et instantanéité de la demande des consommateurs… Telles sont les trois principales tendances technologiques à prendre en compte en 2015 par les marketeurs selon Google. L’infographie analyse ces priorités en l’illustrant de données issues des plateformes de Google. Exemples : les recherches sur les drones ont été multipliées par 2,6 ; 1,6 million d’heures ont été vues sur YouTube sur les voitures connectées.



lundi 5 janvier 2015

Thierry Bardy - Immortalité : 10 technologies qui nous en rapprochent
















"L'homme qui vivra mille ans est déjà né", affirme le chirurgien neurologue Laurent Alexandre dans son livre "La Mort de la mort". Chaque jour, nous gagnons effectivement plus de cinq heures d'espérance de vie.
Et si un jour il n'y avait plus de limite ? Et si on pouvait remplacer à volonté les organes défectueux, rajeunir nos cellules au fur et à mesure ou traquer en temps réel la moindre déficience ?
Des idées qui semblaient autrefois fantaisistes mais sur lesquelles des scientifiques très sérieux font des pas de géants.

1/Fabriquer des organes de remplacement

Grâce aux cellules-souches, il est possible de faire croître des tissus humains
Avec la médecine régénérative, les scientifiques espèrent recréer des organes humains à partir de cellules souches, afin de remplacer des parties du corps malades. Il est déjà possible de "fabriquer" des cellules rétiniennes, des muscles, des cartilages, ou même un foie entier parfaitement fonctionnel. Des chercheurs américains ont réussi à régénérer partiellement la moelle épinière de patients victimes d'un AVC (accident vasculaire cérébral) et des essais cliniques sont en cours pour remplacer des neurones perdus.
Encore mieux, il est possible de "reprogrammer" des cellules adultes en cellules souches (dites iPS), ce qui permettrait une "auto-réparation" des organes. La biotech française Cellectis propose d'ores et déjà de stocker vos cellules pour bénéficier ultérieurement de telles technologies.

2/Rajeunir les cellules avec la génétique
Le vieillissement serait finalement un processus réversible.
La pilule de jouvence n'est pas encore là, mais la science fait des progrès fulgurants sur les processus de rajeunissement. En 2011, des chercheurs de l'Inserm sont parvenus à "reprogrammer" des cellules de personnes âgées en effaçant toute trace de vieillissement, démontrant ainsi la réversibilité du processus de vieillissement cellulaire.
De nombreuses autres études ont démontré le rôle clé de certaines protéines ou gènes, qu'il serait possible de modifier pour stopper la dégénérescence des cellules. Des chercheurs du Buck Institute sont ainsi parvenus à multiplier par cinq l'espérance de vie d'un petit ver. En atténuant l'activité d'un gène, le mTOR, une autre équipe du National Institutes of Health a pu allonger la durée de vie de 20% chez la souris tout en améliorant sa mémoire et ses capacités musculaires.

3/Stocker la conscience dans un cerveau artificiel

 Enregistrer sa vie psychique sur un ordinateur, la quête de l'esprit éternel.
A défaut de prolonger indéfiniment la vie "physique", des entreprises visent désormais la vie éternelle... sur disque dur. Le site Eterni.me propose ainsi de compiler toutes les informations que quelqu'un poste durant sa vie sur Internet (courriels, réseaux sociaux...), puis de "recréer son esprit" grâce à un programme d'intelligence artificiel. Ce "double virtuel" serait alors capable de continuer à dialoguer avec ses proches.
Ce n'est qu'un début. Le projet "Initiative 45", monté par le millionnaire russe Dmitry Itskov, ambitionne lui de "transférer sa conscience" dans un cyborg ou un hologramme. Autre axe de la recherche: créer un cerveau artificiel. Le projet Human Brain Project, qui planche sur l'élaboration d'un réseau neuronal sur un "superordinateur", s'est vu attribuer en 2013 un milliard d'euros de subventions européennes.


4/ Prothèses bioniques pour un humain augmenté 


Le bras robotisé DEKA est capable d'effectuer plusieurs mouvements simultanément. © DARPA
L'homme immortel sera sans doute en partie bionique. Les prothèses artificielles remplaceront non seulement des membres déficients, mais elles permettront aussi de doper les performances naturelles de l'humain ordinaire. La main bebionic3, présentée comme "la plus perfectionnée au monde", permet ainsi d'écrire ou de saisir délicatement des objets, tandis que le bras motorisé DEKA, mis au point par l'inventeur du Segway, peut comprendre et effectuer plusieurs mouvements simultanément. Certaines prothèses permettent même de rétablir le sens du toucher. En Suède, un amputé a récemment bénéficié d'un bras artificiel contrôlé par la pensée via des électrodes directement implantées dans les muscles et les nerfs.
La start-up israélienne Nano Retina a de son côté mis au point un œil bionique, transformant la lumière en signal électrique qui va stimuler les cellules nerveuses de la rétine.
5/ Le check-up santé 24 heures sur 24
L'application Withings Pulse mesure minute par minute les données physiologiques.
Plus aucun risque demain de mourir d'infarctus en plein jogging. Les objets connectés et les applications smartphone traquent la moindre défaillance physiologique et vous préviennent avant qu'il ne soit trop tard.
Le bracelet Withings Pulse mesure par exemple votre rythme cardiaque et votre niveau d'oxygène dans le sang. Tactio développe des applications pour le suivi des patients atteints de maladies chroniques, tandis que le micro-scanneur TellSpec analyse la nourriture pour vous prévenir par exemple si elle contient un aliment auquel vous êtes allergique. Même Apple s'est lancé récemment avec son HealthKit, qui offre en temps réel un aperçu de votre état de santé.


6/ La cryonie pour préserver son corps
Plongé dans l'azote liquide, le corps est congelé sans être altéré.
Congeler son corps dans l'azote liquide à -196 °C en attendant que la science puisse un jour le "ressusciter" : c'est le principe de la cryonie. Deux entreprises américaines (Alcor et Cryonics Institute) et une russe (Kriorus) proposent cette prestation pour des tarifs allant de 28 000 à 200 000 dollars et des assurances-vie dédiées ont été lancées aux Etats-Unis.
Si les pionniers passaient encore pour des hurluberlus il y a peu, les progrès en la matière sont étonnants. Des chercheurs chinois sont ainsi parvenus récemment à réimplanter un membre congelé sur un rat. Le scientifique Pierre Boutron estime même que la cryonie est à portée de main, "au même stade que la transplantation cardiaque il y a 25 ans".

7/ Les nanorobots pour réparer le corps

Les nanorobots pourront se fixer sur les tumeurs pour les détruire.
Imaginez une armée de nanorobots circulant en permanence dans l'organisme, prêt à intervenir à la moindre anomalie. L'avènement de telles technologies est peut-être pour bientôt. Alors que les maladies cardiovasculaires sont l'une des premières causes de décès dans le monde, des nanorobots pourront par exemple nettoyer les artères encrassées de cholestérol ou même réparer une veine endommagée.
Les nanorobots pourraient aussi agir à la place des anticorps pour se fixer sur les virus et empêcher les infections, débarrasser l'organisme des parasites ou encore remplacer des morceaux d'ADN déficients. Enfin, ils serviront à délivrer des médicaments. Des chercheurs de Harvard ont par exemple réussi en 2014 à fabriquer un nanorobot à partir d'ADN, susceptible à terme de détruire une tumeur localement sans affecter le reste de l'organisme.

8/ Du sang synthétique et régénérant

Les recherches pour fabriquer un substitut sanguin sont sur le point d'aboutir.
10 000 dons de sang sont nécessaires chaque jour pour répondre aux besoins des malades, selon l'Etablissement français du sang. Mais surtout, des études sur la souris ont montré que des transfusions de sang "jeune" pouvaient "inverser" le processus de vieillissement.
Fabriquer un substitut sanguin fait donc depuis des années l'objet d'intenses recherches scientifiques. La biotech française Hemarina a par exemple mis au point un transporteur d'oxygène universel à partir d'hémoglobine de ver marin. Une fondation britannique, la Wellcome Trust, a annoncé en avril 2014 pouvoir fabriquer des globules rouges de type O (universel) à grande échelle. Les premiers tests sont attendus pour 2016.

9/ Le coeur artificiel et intelligent

Le coeur artificiel de Carmat est conçu pour s'autoréguler.
Le 20 décembre 2013, la biotech française Carmat a annoncé en grande pompe la première implantation mondiale d'un cœur artificiel bioprothétique (contenant des tissus biologiques) et autorégulé (s'adaptant automatiquement aux besoins du patient).
Le patient n'a survécu que 74 jours mais une deuxième implantation a déjà eu lieu. "L'insuffisance cardiaque est la première cause de mortalité dans le monde", rappelle Carmat, qui précise que 20 millions de patients sont concernés par cette maladie en Europe et aux Etats-Unis. Son concurrent américain, Syncardia, se targue lui d'avoir déjà greffé 1 413 cœurs artificiels mais leur pompe n'est pas implantée dans le corps du patient.

10/ Suivre un régime draconien... ou faire comme si


 Réduire son apport calorique de 30 à 50% aurait des effets significatifs sur l'espérance de vie.
La méthode la plus simple pour ne pas vieillir semble être... de faire un régime. Les études scientifiques s'accumulent depuis plusieurs années pour démontrer le rôle de la restriction calorique sur l'espérance de vie, notamment en ralentissant le métabolisme et en bloquant certains facteurs inflammatoires. Dans une étude parue en 2009, des singes sous-alimentés de 30% ont ainsi vu leur mortalité divisée par trois.
Heureusement, il ne sera peut-être pas nécessaire de se priver de nourriture pour l'éternité : les chercheurs planchent déjà sur des médicaments imitant l'effet des régimes. Une supplémentation en glucosamine a par exemple permis d'allonger la vie de souris de 10% sans modifier leur régime alimentaire. Le resveratrol, un polyphénol que l'on trouve notamment dans le vin rouge, aurait lui aussi des effets protecteurs significatifs.

jeudi 1 janvier 2015

Thierry Bardy accueille Rodolphe Gelin, directeur de la Recherche d’Aldebaran Robotics





"Regards croisés" le talk show  d'Orange IMT (Innovation Marketing Technologie)
               


lundi 19 Janvier  2015 à 17h00 aux Jardins de l'innovation, Issy-les Moulineaux

  
« Pepper,  Nao, Romeo ; les robots d'Aldebaran viennent nous raconter leur vies  »

Décryptage des nouveaux rôles des robots à travers le monde et perspectives d'évolution de ce leader mondial de la robotique français.

-Après une présence dans les boutiques de NTT/Docomo, de Nestle, Nao explique tout de la
« maison connectée » aux clients Darty en France et augmente de près de 50% la fréquentions de leurs magasins.



- Maintien et compagnon de vie des personnes âgées ; beaucoup plus qu’un robot d’assistance.



- Des milliers de robots Nao dans les écoles Américaines pour apprendre le codage informatique aux élèves.



- Robotique émotionnelle ; Roméo reconnait la joie, la colère, la tristesse de son interlocuteur,

comment est-ce possible ?.

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