L’auto, la montre et le réfrigérateur sont les objets connectés qui suscitent le plus d’intérêt selon une étude Havas Media / CSA
Les Français connaissent les objets connectés et leur portent un grand
intérêt, même quand ils ne sont pas encore commercialisés. C'est ce qui ressort
d'une étude Havas Media dont les résultats ont été présentés hier à l'occasion
d'une conférence et d’une table ronde sur l'IOT (Internet of Things), animées
par Raphaël de Andreis, CEO de Havas Media France.
Selon l'étude réalisée avec l'institut CSA, 81% des internautes de 15 à 49 ans ont déjà entendu parler des objets connectés, et 55% savent ce que c'est, avec 68% des hommes et 43% des femmes. Quand on demande aux sondés quels sont les objets connectés déjà commercialisés, les deux objets qui arrivent en tête sont, à juste raison, la montre (71%) et, à tort, la voiture (62%). Puis viennent le réfrigérateur (45%), le pèse-personne (45%), le bracelet (42%) et les lunettes (38%).
L’automobile connectée est, par ailleurs, l'objet qui suscite le plus d'intérêt (61%) devant la montre (49%) et le réfrigérateur (48%). En termes d'intentions d'achat, la montre arrive en tête, suivies par la voiture (27%), le bracelet (27%), les lunettes (24%), le réfrigérateur (23%) et le stylo (23%).
Les Français sont enthousiastes vis-à-vis de ces nouvelles technologies : 78% des personnes interrogées pensent que les objets connectés et les services associés leur permettront de trouver leurs informations numériques n'importe où et n'importe quand. 75% estiment que ces objets sont synonymes de progrès et 71% pensent qu'ils leur faciliteront la vie. Même si 69% estiment que ce sont «des gadgets de plus» et 45% craignent qu’ils soient «trop compliqués à utiliser», 63% sont favorables à leur développement et 57% pensent que ces objets se généraliseront d’ici cinq ans. L'étude met aussi en évidence une crainte : 78% des sondés pensent que les objets connectés peuvent représenter des risques pour le respect de la vie privée (83% des 15-29 ans).
Havas Media considère que ce nouvel univers représente «un réel potentiel pour les marques : mieux connaître leurs consommateurs, appréhender les usages, à condition cependant d'établir une relation basée sur le fairplay : une identification volontaire des utilisateurs, des services associés à valeur ajoutée, et donner les moyens au consommateur de maîtriser l'utilisation et l'exploitation des données».
Selon Raphaël de Andreis et les intervenants de la table ronde - Luc Bretones (Orange), Michel Levy-Provençal (Joshfire), Mathias Herberts (Arkea) - ce sont les domaines de la santé, du bien-être et des loisirs qui mèneront le développement de l’IOT, avec des objets «wearable» : les montres, les bracelets, les lunettes puis les vêtements.
Selon l'étude réalisée avec l'institut CSA, 81% des internautes de 15 à 49 ans ont déjà entendu parler des objets connectés, et 55% savent ce que c'est, avec 68% des hommes et 43% des femmes. Quand on demande aux sondés quels sont les objets connectés déjà commercialisés, les deux objets qui arrivent en tête sont, à juste raison, la montre (71%) et, à tort, la voiture (62%). Puis viennent le réfrigérateur (45%), le pèse-personne (45%), le bracelet (42%) et les lunettes (38%).
L’automobile connectée est, par ailleurs, l'objet qui suscite le plus d'intérêt (61%) devant la montre (49%) et le réfrigérateur (48%). En termes d'intentions d'achat, la montre arrive en tête, suivies par la voiture (27%), le bracelet (27%), les lunettes (24%), le réfrigérateur (23%) et le stylo (23%).
Les Français sont enthousiastes vis-à-vis de ces nouvelles technologies : 78% des personnes interrogées pensent que les objets connectés et les services associés leur permettront de trouver leurs informations numériques n'importe où et n'importe quand. 75% estiment que ces objets sont synonymes de progrès et 71% pensent qu'ils leur faciliteront la vie. Même si 69% estiment que ce sont «des gadgets de plus» et 45% craignent qu’ils soient «trop compliqués à utiliser», 63% sont favorables à leur développement et 57% pensent que ces objets se généraliseront d’ici cinq ans. L'étude met aussi en évidence une crainte : 78% des sondés pensent que les objets connectés peuvent représenter des risques pour le respect de la vie privée (83% des 15-29 ans).
Havas Media considère que ce nouvel univers représente «un réel potentiel pour les marques : mieux connaître leurs consommateurs, appréhender les usages, à condition cependant d'établir une relation basée sur le fairplay : une identification volontaire des utilisateurs, des services associés à valeur ajoutée, et donner les moyens au consommateur de maîtriser l'utilisation et l'exploitation des données».
Selon Raphaël de Andreis et les intervenants de la table ronde - Luc Bretones (Orange), Michel Levy-Provençal (Joshfire), Mathias Herberts (Arkea) - ce sont les domaines de la santé, du bien-être et des loisirs qui mèneront le développement de l’IOT, avec des objets «wearable» : les montres, les bracelets, les lunettes puis les vêtements.
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