Plusieurs sites de shopping découverte sont à
l’initiative de ce changement : les visiteurs y sont invités à constituer des
collections de leurs produits préférés, à épingler leurs coups de cœur qu’ils
peuvent partager avec toute une communauté de shoppers virtuels, souvent via
leur smartphone ou leur tablette.
Naturellement, ces sites influencent aussi les décisions d’achat des commerçants. Pour la première fois, les gérants des boutiques savent exactement ce que leur clientèle attend d’eux et ils constituent leurs stocks en conséquence.
Les pratiques et services de curation ont généré beaucoup de buzz ces deux dernières années.
On n’aurait jamais parié qu’un tableau numérique où l’on épingle des photos et des vidéos puisse marquer le début d’une nouvelle ère du shopping. Et pourtant, après une levée de fond réussie par le groupe Rakuten depuis 2012, Pinterest fait bien partie des premiers sites à avoir contribué au phénomène. Si les premiers utilisateurs du site ont surtout partagé des photos d’animaux ou de vacances ou encore des illustrations de citations, il n’a pas fallu attendre longtemps avant qu’ils épinglent des photos des produits qu’ils aimeraient bien s’offrir, depuis les tasses à café jusqu’aux voitures.
Aujourd’hui, plus de 20 millions de personnes visitent chaque mois le site Pinterest, catalyseur d’une nouvelle génération de sites de shopping, comme PriceMinister, Fancy, Pinshoppr ou Curisma.
En plus d’amener les consommateurs potentiels à découvrir des produits originaux et inédits du monde entier, ces sites sont aussi un moyen de se divertir ; pour les visiteurs, c’est aussi l’occasion de nouer des relations sociales avec des tiers qui partagent les mêmes centres d’intérêt.
Les commerçants visionnaires, convaincus du potentiel qu’ils vont pouvoir en retirer, sont les premiers à encourager leurs clients à partager leurs achats un peu partout sur le Web. En plus d’apporter aux commerçants une vitrine supplémentaire de leurs marchandises, qui génère du trafic supplémentaire sur leurs propres sites de e-commerce, ces nouveaux sites sont aussi pour eux une source d’information inestimable sur ce qui marche et ce qui marche moins.
Les commerçants en viennent à adopter une approche similaire : des sites comme Made.com et The Grommet invitent les consommateurs à acquérir des produits en pré-production, non encore disponibles ou commercialisés en édition limitée. En plus d’aider les designers et autres concepteurs à tester leurs idées de produits, ces sites sont un bon moyen pour les commerçants d’éviter d’encombrer leurs entrepôts de marchandises qui ne rencontreront pas le succès.
Naturellement, ces sites influencent aussi les décisions d’achat des commerçants. Pour la première fois, les gérants des boutiques savent exactement ce que leur clientèle attend d’eux et ils constituent leurs stocks en conséquence.
La curation dans le e-commerce : une formidable découverte
La curation appliquée à l'e-commerce aide avant tout les consommateurs à découvrir des produits, tout en contribuant à renforcer leur engagement.Les pratiques et services de curation ont généré beaucoup de buzz ces deux dernières années.
On n’aurait jamais parié qu’un tableau numérique où l’on épingle des photos et des vidéos puisse marquer le début d’une nouvelle ère du shopping. Et pourtant, après une levée de fond réussie par le groupe Rakuten depuis 2012, Pinterest fait bien partie des premiers sites à avoir contribué au phénomène. Si les premiers utilisateurs du site ont surtout partagé des photos d’animaux ou de vacances ou encore des illustrations de citations, il n’a pas fallu attendre longtemps avant qu’ils épinglent des photos des produits qu’ils aimeraient bien s’offrir, depuis les tasses à café jusqu’aux voitures.
Aujourd’hui, plus de 20 millions de personnes visitent chaque mois le site Pinterest, catalyseur d’une nouvelle génération de sites de shopping, comme PriceMinister, Fancy, Pinshoppr ou Curisma.
En plus d’amener les consommateurs potentiels à découvrir des produits originaux et inédits du monde entier, ces sites sont aussi un moyen de se divertir ; pour les visiteurs, c’est aussi l’occasion de nouer des relations sociales avec des tiers qui partagent les mêmes centres d’intérêt.
Les commerçants visionnaires, convaincus du potentiel qu’ils vont pouvoir en retirer, sont les premiers à encourager leurs clients à partager leurs achats un peu partout sur le Web. En plus d’apporter aux commerçants une vitrine supplémentaire de leurs marchandises, qui génère du trafic supplémentaire sur leurs propres sites de e-commerce, ces nouveaux sites sont aussi pour eux une source d’information inestimable sur ce qui marche et ce qui marche moins.
La fin du suspens
A cette tendance s’ajoute celle des sites de financement communautaire, ou crowdfunding, comme Kickstarter et Indiegogo, qui permettent de connaître l’opinion des consommateurs vis-à-vis d’un nouveau produit avant même leur commercialisation. Grâce à ces sites, les marchands peuvent aussi financer leur fabrication si l’accueil qui leur a été réservé justifie leur commercialisation.Les commerçants en viennent à adopter une approche similaire : des sites comme Made.com et The Grommet invitent les consommateurs à acquérir des produits en pré-production, non encore disponibles ou commercialisés en édition limitée. En plus d’aider les designers et autres concepteurs à tester leurs idées de produits, ces sites sont un bon moyen pour les commerçants d’éviter d’encombrer leurs entrepôts de marchandises qui ne rencontreront pas le succès.
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