Quand
le géant de la distribution en ligne se met à lorgner sur un moyen de
production comme l'impression 3D, ça donne le « 3D Printing Store ».
Ce qu'il propose en revanche, outre les modèles de ses partenaires et sa plateforme de distribution, c'est une interface de personnalisation séduisante.
Parce que vendre ce qui existe déjà ne lui suffit pas, Amazon a décidé de s'appuyer
sur les technologies d'impression 3D pour offrir du personnalisable, à flux
tendu.
Son nouveau service, Amazon 3D Printing Store (pour l'instant américain), propose ainsi de multiples modèles d'objets 3D, dans des domaines variés comme la bijouterie, la décoration, l'électronique, les accessoires ou encore les jeux et jouets.
Et sur la base de ces modèles, l'utilisateur peut aisément modifier la couleur, la taille, la forme ou encore le type de matériau. L'interface simple affiche un aperçu tridimensionnel de la modélisation, qu'on fait tournoyer avec sa souris. Les premiers items sont commercialisés à partir d'une trentaine de dollars.
Petra Schindler-Carter, directrice des ventes d'Amazon Marketplace, a déclaré par voie de presse : « l'introduction de notre boutique de produits imprimés en 3D annonce le début d'une transition dans le commerce en ligne - le processus de fabrication peut se faire plus agile qu'il ne l'est afin de procurer une expérience plus captivante au client ».
On imagine surtout pour une société comme Amazon, où la logistique est vraisemblablement le poste de dépenses le plus conséquent, quel impact ce cheminement alternatif de la production peut avoir. Certes, Amazon n'imprime pas (ou pas encore ?) directement et le système ainsi ficelé n'autorise pas le client à uploader ses propres créations 3D. Mais si la mayonnaise prend, il y a fort à parier qu'Amazon passera le cap suivant, en contrôlant sa propre production d'objets 3D, la technologie étant à la portée d'une société aussi puissante, soit directement, soit par voie de rachat.
Son nouveau service, Amazon 3D Printing Store (pour l'instant américain), propose ainsi de multiples modèles d'objets 3D, dans des domaines variés comme la bijouterie, la décoration, l'électronique, les accessoires ou encore les jeux et jouets.
Et sur la base de ces modèles, l'utilisateur peut aisément modifier la couleur, la taille, la forme ou encore le type de matériau. L'interface simple affiche un aperçu tridimensionnel de la modélisation, qu'on fait tournoyer avec sa souris. Les premiers items sont commercialisés à partir d'une trentaine de dollars.
Petra Schindler-Carter, directrice des ventes d'Amazon Marketplace, a déclaré par voie de presse : « l'introduction de notre boutique de produits imprimés en 3D annonce le début d'une transition dans le commerce en ligne - le processus de fabrication peut se faire plus agile qu'il ne l'est afin de procurer une expérience plus captivante au client ».
On imagine surtout pour une société comme Amazon, où la logistique est vraisemblablement le poste de dépenses le plus conséquent, quel impact ce cheminement alternatif de la production peut avoir. Certes, Amazon n'imprime pas (ou pas encore ?) directement et le système ainsi ficelé n'autorise pas le client à uploader ses propres créations 3D. Mais si la mayonnaise prend, il y a fort à parier qu'Amazon passera le cap suivant, en contrôlant sa propre production d'objets 3D, la technologie étant à la portée d'une société aussi puissante, soit directement, soit par voie de rachat.
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